-------Actualités--------
- Plusieurs squats ont
été expulsés
cet
été, dont les 400 Couverts et laKanaille (lire
leur communiqué). Divers projets se retrouvent
donc sans
toit... à suivre.
- Le papier d'indymedia-grenoble
n°2 (été
2005) vient de sortir.
Pour le télécharger,
cliquez ici.
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Détruit dans l'expulsion
du squat des 400 Couverts.
Une zone de gratuité c’est, tenez vous bien : un projet d’expérimentation sociale. On s’y transmet des objets sans passer par le commerce ou d’autres systèmes d’échanges. On y propose et on y tente des pratiques et des attitudes qui sortent de ce à quoi le marché nous a habitué-e-s : le calcul, le profit, le négoce. On s’y lance dans des raisonnements de «propriétaire d’usage» : d’accord, j’ai fait un effort pour fabriquer ou acquérir cet objet mais je ne m’en sert pas, donc je peux le donner à qui en ce moment en a besoin, et j’ai l’assurance de ne jamais manquer de rien car plusieurs autres personnes fonctionnent comme moi. L’idée est aussi de niquer le système en se servant de ses tares : surproduction, gaspillage, pour cesser de l’alimenter : la surabondance d’objets dans les décharges et leur récupération peuvent nous éloigner des supermarchés de la consommation.
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Détruit dans l'expulsion
du squat des 400 Couverts.
à base de plantes
L'idée est d'avoir une pharmacie collective avec des préparations à base
de plantes, des tisanes, mais aussi de l'homéopathie, de l'argile, des
fleurs de Bach etc.
Cette pharmacie ne sera pas attachée aux habitantes et habitants d'un lieu précis mais ouverte à qui en a besoin , à qui veut y participer. Elle
servira aussi à alimenter différentes pharmacies individuelles ou
collectives . Nous aimerions qu'elle fonctionne de façon autogérée (pour
les cueillettes, les préparations, l'utilisation). Des fiches explicatives
sont prévues sur le lieu de stockage.
Notre motivation est:
- de prendre en mains notre santé et d'être plus autonomes sur ce sujet
- de ne pas financer les industries pharmaceutiques
- de sortir de la ville pour cueillir et suivre le rythme des saisons,
d'échanger des savoirs et des savoirs-faire, des expériences, anecdotes...
Le projet débute tout juste!
http://gendertrouble.org/
cgi-bin/mailman/listinfo
/recup
La récup, une bouée parmi d'autres dans l'océan marchand et salarié... Organisons-nous pour être encore plus efficaces dans le recueil de surplus en tous genres, ne laissons passer aucune poubelle à trésors !... Glanages sur les marchés, derrière les supérettes ou dans les vergers, matériel que les entreprises ou associations renouvellent, lots à peine défectueux ou à peine périmés, carrelages, bois, meubles, classeurs, ordinateurs portables, etc... Informons-nous mutuellement des plans que nous trouvons à Grenoble et que nous ne pouvons nous-même consumer entièrement ! En passant par la mailing-list recup@gendertrouble.org, par exemple.
Détruit dans l'expulsion
du squat des 400 Couverts.
Four
à pain
Un
four à pain a été construit au
printemps 2003 dans le square de la traverse des 400 couverts.
C’est un four en briques maçonnées
à la terre, recouvert d’une isolation
terre-paille-crottin de cheval. Construire ce four à pain en
plein centre-ville de Grenoble c’était,
à leur échelle, pour celles et ceux qui
l’ont construit, un acte politique qui s’inscrit
dans une démarche d’autonomie et de reprise en
main de nos quotidiens. L’idée était
aussi d’en faire un four à pain collectif, et il
est utilisable par toutes celles et ceux qui veulent faire du pain, des
pizzas, des gratins… Seules conditions : que cela se passe
dans une logique non-marchande et que la nourriture soit
végétarienne.
Pourquoi
construire un four à pain ?
Un site de bricolage pour la construction de l'esprit critique grenoblois...
Critiques fines et acerbes des politiques d'urbanisme de la ville de Grenoble.
Stades et nano-technologies...
http://www.piecesetmaindoeuvre.com
imc-france-grenoble
@lists.indymedia.org
Le site grenoble.indymedia.org est né à l'automne 2004. Son but est de diffuser une information libre et autonome, en particulier sur les luttes sociales à Grenoble et dans la région, en s'opposant aux outils de propagande officielle et au formatage médiatique.
Indymedia n'est certainement pas politiquement neutre (quel média l'est ?) et ses membres ne sont surtout pas des journalistes (fussent-illes "alternatifs/ves") : indymedia est avant tout une plate-forme de publication ouverte, dont la ligne éditoriale est clairement formulée dans une charte.
Le site :
http://grenoble.indymedia.org
Une version papier du site existe pour qu'indymedia ne reste pas réservé aux internautes. Il est possible de télécharger la dernière (été 2005), l'imprimer et la faire circuler.
Détruit dans l'expulsion
du squat des 400 Couverts.
Une petite bibliothèque alternative, subversive, écolo, anticapitaliste, anarchiste, qui traîne ses fauteuils et ses cartons de squat en squat, et qui décore les rues de jolis présentoirs à textes. Le principe de fonctionnement est de mettre en commun tracts, revues, bouquins, brochures intéressant-e-s, et de lancer des circuits de diffusion à échelle toute humaine, où l’on se photocopille et l’on se passe les infos d’individu-e en individu-e. L’infokiosque est marchandophobe, il aime beaucoup la gratuité, les dons, les emprunts.
Contact :
10 rue Benoît Jay
38800 Pont de Claix
Tel. : 06-74-51-29-03 (le soir)
04-76-99-93-23 (la journée, répondeur)
Mail : hyougs@yahoo.fr
est une association d'agitation artistique en milieu populaire, un café-bibliothèque associatif (3000 bouquins en rayonnage, avec pas mal d'éditrices/teurs indépendant-e-s), un point de rencontre entre la culture et le politique, un lieu de débats, de rencontres et d'échanges,… Propose aussi des projections, des lectures, des concerts,…
En vadrouille depuis l'été 2004.
Contact
:
adresse postale :
c/o Cap Berriat,
15 rue Georges Jacquet
fraka@no-log.org
FraKa (Festival de Résistances et
d’Alternatives au KApitalisme)
Au mois de mars,
depuis 4 années, le FraKa tente de rassembler et de mettre
en valeur des initiatives qui mettent en cause le monde marchand.
Discussions, cinéma, théâtre, bouffes,
musique, actions, carnaval, (etc) durant une semaine, en parlant de
salariat, de prisons, d’urbanisme, de nuisances, de rapports
de dominations,… Le programme est diffusé
à 8000 exemplaires pour toucher des personnes
variées. Le FraKa tente de faire preuve d’un
esprit combatif en restant de bonne humeur.
Voir
le site : http://festival.fraka.free.fr
Agence occupée
Vous propose un large
éventail de logements, dans votre ville, à des
conditions particulièrement avantageuses.
suite
de la réclame
à l'intersection avec l'avenue Jean Perrot
tram A Cargo/maison de la culture, arrêt bus Ponsard
la_meche@squat.net
L'ancienne serrurerie du 1, rue Ponsard à Grignoble est désormais occupée, sans droit ni titre, par un collectif, un nous. Un squat pour habiter, et pour de multiples et poilues zactivités.
Gniark.
Nous sommes de mèche avec tout ce qui contribue à renverser l'ordre hétéropatriarcal capitaliste et à recouvrer nos super-pouvoirs de gen-te-s libres.
Grrrrr.
Nous entendons bien expérimenter une vie en collectif en cherchant à nous débarrasser des rapports de domination genrés (sexiste, homophobe, transphobe...), racistes, âgistes, spécistes et de spécialisation (...) et en construisant, de bric et de broc, des pratiques autonomisantes (échanges de savoir avec la tête et les mains, organisation d'évènements et d'activités sans subvention divers et variés).
Bzzzzz...
Bref, tout ce qu'on a, on l'a volé, on s'en sert, et on rendra pas les clés de sitôt. Ca non.
Gloups.
Héhé.
70 rue Nicolas Chorier
38000 Grenoble
04 38 12 81 77
Squattée depuis septembre 2001, cette maison est un lieu de vie et une salle de spectacles (concerts, fêtes, scènes ouvertes, films, salon de thé,...) à prix libre, avec un grand jardin plein d'arbres.
traverse des 400 Couverts
(tram Alsace
Lorraine)
38000 Grenoble
chapitonom@altern.org
www.400couverts.net
novembre 2001-août 2005
rasé
De novembre 2001 à août 2005, un collectif a occupé plusieurs bâtiments de la traverse autogérée des 400 couverts. Leur propriétaire, la Mairie, les laissait vides en vue d’y réaliser un projet d’habitat normalisé.
C’est là que le chapitonom’, autoconstruit à la main et à la perceuse, abritait spectacles, débats et ateliers.
Dans un milieu urbain soumis à l’idéologie et l’esthétique des promoteurs, les squateuses et les squateurs des 400 couverts tentaient de proposer des moments conviviaux et créatifs hors de toute logique marchande.
38100 Grenoble.
lamordue@squat.net
septembre 2004-mars 2005
toujours vide
"La Mordue c'est : un squat d'habitation entre femmes (c'est à dire toute personne se définissant comme telle...) et lesbiennes. Un squat d'activités féministes non-mixtes, avec aussi quelques activités en mixité.Ces locaux étaient vides depuis au moins 10 ans, "ça suffit y en a marre!"...
Vive la Mordue...patriarcat, capitalisme, etc!"
15 rue de la résistance
38 170 Seyssinet
resistor@squat.net
septembre 2004-juin 2005.
toujours vide
"Une maison est occupée au 15 rue de la Résistance à Seyssinet, tranquille bourgade de l'agglo grenobloise (au pied du massif du Vercors). Nous sommes aux alentours de 6 individu-e-s, plutôt jeunes, plutôt fraî-ches, qui avons décidé d'investir cette vieille demeure, au cadre bucolique s'il en est. Elle se morfondait, laissée à l'abandon par la mairie, tragiquement vouée à devenir une gendarmerie. Nous voulons y créer un jardin potager collectif (avec échanges de savoir), faire des trucs, des garden-parties, des ateliers divers et d'été : falafels, smurfs, perfectionnement de siestes... Pour l'instant, nous rénovons. Un week-end chantier est peut être à venir. Si vous avez un poêle à bois, un évier en fer, une armoire à cuillère, ou des matelas et autres canapés, contactez nous ! En tous les cas, n'hésitez pas à venir nous rencontrer...
Dans la rue d'la résistance
Tomates poussent abondamment
Y'aura un commissariat
En attendant, il n'est... PAS LA"
38600 Fontaine
laflibustiere@no-log.org
octobre 2003-mai 2004
toujours vide
"Nous occupons cette maison, vide depuis trop longtemps, pour dénoncer la spéculation immobilière. Nous voulons créer des alternatives et lutter contre cette société de profit et de rapports de domination. Nous avons appelé ce lieu « La Flibustière » en référence aux femmes pirates qui s'affranchissaient des normes imposées aux femmes et se révoltaient contre les inégalités sociales. Ce lieu féministe se compose d'un espace d'habitation et d'un lieu d'activité ouvert à toutes les femmes (révoltées, timides, grosses, hétéroes, noires, bies, moches, blanches, trans, lesbiennes, jolies, désargentées…) qui souhaitent s'y investir. Parmi les activités organisées, il y a : une bibliothèque, un infoshop, des ateliers (théâtre, mécanique, littérature…), des projections vidéo, une émission de radio, un groupe de parole, un groupe d'action."
Lire l'appel à soutien
4 rue
du Pont Carpin
38100 Grenoble
septembre 2003-septembre 2004
toujours vide.
Loupiote [expulsée]
"On a décidé d'occuper une maison vide
tralalère !!!
Parce qu'on trouve ça important de se
réapproprier la ville et que justement des
propriétaires laissent des maisons toutes seules, sans vie
dedans. Pour que nos révoltes s'affinent et se
concrétisent dans notre quotidien. Parce qu'on a plein de
choses à expérimenter comme l'échange
de savoir, la récup, la réflexion sur notre
alimentation, le bricolage, les rapports sans compétitions,
…
Le
propriétaire des lieux, la Metro (Communauté de
Communes de Grenoble) est en train d'installer des
préfabriqués dans la cour, mais n'a aucun projet
précis sur la maison que nous occupons... Le
procès qu'elle a intenté nous a
accordé le minimum (la trêve d'hiver) : la
Loupiote est expulsable au printemps... A quoi ça sert une
maison vide ? Qui prend les décisions en matière
d'urbanisme ? Quelle place y a-t-il dans une ville pour des espaces,
des quotidiens et des projets autonomes ?"
La Loupiote comportait un projet de vie collective
autogérée, et un projet d'activités
ouvertes au public : vous en saurez plus en cliquant ici.
38100 Grenoble
golgoth-a-xxx@squat.net
octobre 2003-avril 2004
toujours vide
Golgoth-A-10 10 10 [expulsé-e]
"GOLGOTH-A-10-10-10 est un collectif
d’individus-robots.
GOLGOTH-A-10-10-10 occupe depuis fin octobre 2003 un vaisseau
basé au 14 rue Paul Doumer à Grenoble. Cette
maison était vide depuis bien trop longtemps.
GOLGOTH-A-10-10-10 a alors décidé de
s’emparer des manettes de ce vaisseau fantôme pour
qu’il ne soit plus fantôme, justement. Les
individus-robots de GOLGOTH-A-10-10-10 dérivaient depuis
bien trop longtemps sans toit dans l’espace des
inégalités sociales. D’autant plus que
ces individus-robots ne comprennent pas les logiques absurdes de la
sacro-sainte propriété privée. Les
défenseurs de ce principe préfèrent
voir un lieu abandonné plutôt
qu’animé par des individus qui ont besoin
d’un espace d’habitation et
d’activités. C’est pour cela
qu’on en arrive à vivre dans un système
où il y a plus de logements vides que d’individus
sans domicile (ceux-ci étant pourtant très
très nombreux-nombreuses)."
Mais dans tout ceci, une question se pose : pourquoi GOLGOTH-A-10-10-10
s’appelait ainsi ? lire la suite
Contact :
avecnous@no-log.org
Nous réalisons des brochures, exposés, tables de presse sur des sujets qui nous révoltent ou nous préoccupent.
Brochures disponibles: - Critiques et espoirs du commerce équitable - L'idéologie publicitaire - La politique française en Afrique - Le blanchiment d'argent - Critique du développement - La dette des pays du Sud - Histoire de l'immigration en France - La culture du narcissisme - La sociologie de Pierre Bourdieu - Le détournement de l'aide au développement - Le progrès, une idéologie ? - La démocratie selon Cornélius Castoriadis.
Les brochures en chantier sont: - L'agriculture intensive - Le Rwanda - Le nucléaire - L'édition en France et en Afrique - Les prisons.
Nos principes : pédagogie, papier recyclé, prix libre.
Retrouvez nos brochures en ligne.
Zanzara athée
zanzara@squat.net
Zanzara Athée
C'est quoi ? Pour
le dire très vite, c'est une distribution autonome de
lectures subversives ; c'est une mini maison d'édition (de
brochures uniquement, pour le moment) ; c'est aussi un moyen
d'agitation plus direct par le biais d'actions directes, la
rédaction de tracts, ainsi que le relais d'infos via
Internet. Un des buts du jeu est de révolutionner le monde.
Vu que cela risque de prendre du temps : autant commencer ici et
maintenant. La vie est plus rigolote quand on essaie de vivre ses
idées et ses envies. Qu'est-ce que t'en dis ? Zanzara
athée fonctionne sans salaire, sans profits ni subventions.
Si beaucoup de choses sont à prix libre c'est pour
éviter que l'argent soit une barrière entre nous
(même s'il est évident que tant qu'il y aura un
billet de banque sur Terre, il y aura des barrières entre
nous…).
La
liste des brochures diffusées par zanzara athée
est consultable sur infokiosques.net.
Voilà une distro qui vend, à prix coûtant, plein de bouquins et de brochures politisées, et plein d'enregistrements musicaux autour de la mouvance punk (emo, ska, hardcore, crust, grind, et moult autres classifications étranges). Tout ce petit monde de lettres et de notes, d'ailleurs consigné sur un catalogue, peut être croisé à l'orée d'un concert ou d'une conférence, avec une table et des gens derrière.
Contact :
iosk@inventati.org
Iosk éditions
Iosk est l'exotique nom d'une bicoque d'auto-édition et de
ré-édition artisanales qui officie turbinante
trépidante sifflottante, quelque part dans
l'arrière-cour d'un squat alpin. On y corne classe brasse
entasse tache retouche attache étend déterre
épouille et pêche des piles froufroutantes
d'écrits pas très sages voire tendancieux,
radicaux, libertaires. De temps à autre, on en met certains
de côté en se disant que ceux-là sont
décidément nos
préférés, on en rédige des
listes comme celle qui commence au dos de cette page, la pupille
attentive et la plume affûtée, puis on les
photocopille joyeusement et on les distribue à qui mieux
mieux. Notre bicoque ne renferme ni salaire ni matériel ni
professionalisme : un repaire de dangereux amatrices et d'intrigants
amateurs, un bivouac sur les routes souterraines et autonomes de la
diffusion d'idées, aux antipodes des artères
centralisantes et industrielles des mass medias. Chez nous les infos et
les interrogations serpentent à échelle humaine,
passent de main crochue en main griffue, de bouche
délectique à oreille délectueuse,
reproduites à loisir par qui veut comme ille veut, sans
spécialistes, vive la photocopie comme outil subversif,
à quand les photocopieuses auto-construites ?
La liste des brochures diffusées par Iosk
éditions est consultable sur
infokiosques.net.
Contact :
La Faille
BP 2301
38033 Grenoble
Cedex 02
la_faille@caramail.com
Un fanzine trimestriel anarchiste, fabriqué entièrement à la main par des militant-e-s de la FA. Des articles théoriques, des sujets sur l’actualité sociale, des dossiers (squatts, mouvement skin…), des interviews, des chroniques musicales et littéraires et des tas de contacts d’autres fanzines à travers le réseau que les rédacteurs-trices ont tissé depuis bientôt 5 ans. Tout ça en 20 pages maquettées au cordeau dans une belle couverture cartonnée et sérigraphiée. Le numéro vaut 2,5 euro, l’abonnement annuel 10 euros (par timbres ou chèques à l’ordre de LAP).
Contact :
CNT
BP 385
38015 Grenoble cedex 1
interco.38@cnt-f.org
liste de
discussion
http://cnt-f.org/cgi-bin/
mailman/listinfo/contacts.38
(Confédération Nationale du Travail)
La CNT est un syndicat anarcho-syndicaliste et syndicaliste révolutionnaire. Ses principes sont la démocratie directe et l'autogestion : pas de hiérarchie ni de permanent-e-s, ni de délégation de pouvoir. Ce sont les syndiqué-e-s en Assemblée Générale qui décident des orientations du syndicat. Fonctionnement que la CNT applique dans les luttes. La CNT est aussi indépendante de tous partis politiques car le syndicat peut traiter de toutes les questions politiques et sociales.
Le site de la CNT : http://cnt-f.org/interco.38
Syndicat Intercorporatif
de l’Isère
BP 223
38405 (St) Martin d’Hères
Ouvert : permanences (et une chouette bibliothèque) au 102 rue d’Alembert
tous les samedis
après-midis
de 15h à 19h.
La CNT regroupe des exploité-e-s, hommes, femmes, salarié-e-s, chômeuses/eurs, retraité-e-s de quelque nationalité que ce soit (à l’exception de celleux qui composent les forces répressives de l’Etat) et qui partagent tou-te-s les mêmes interêts économiques et moraux. Le regroupement des exploité-e-s n’a d’autres raison que la création d’une force solidaire pour combattre chaque jour l’exploitation et la domination dont nous sommes victimes. Pour que, par la disparition de toute forme d’Etat et du Capital, par la disparition des classes sociales, de la propriété privée, cesse toute cette injustice. Pour qu’émerge une société d’individu-e-s libres et égales/aux entre elleux : une société communiste libertaire. L’anarcho-syndicalisme est internationaliste et anti-militariste.
cnt.fau.gre@no-log.org
Syndicat anarcho-syndicaliste étudiant.
CNT CCS 38
BP 385-38015 Grenoble CEDEX 1
permanences :
tous les lundi de 18h à 20h
102 rue d'alembert
38000 Grenoble
cntccs38@no-log.org
Depuis le mois de juin 2003, on a vu redémarrer ou fleurir des coordinations de professionnels du spectacle vivant, de l'audio-visuel et du cinéma dans toute la france, aboutissant à la création d'une coordination nationale.
Issus de celle de Grenoble, nous avons décider de continuer notre lutte au sein d'une organisation syndicale, la CNT, pour déborder du cadre restreint des intermittents du spectacle et conduire la réflexion , le travail et l'action vers des horizons trop longtemps- volontairement ou non- ignorés.
Nous ne nous inscrivons pas dans une résistance face à une guerre contre la culture ou l'intelligence mais dans une action syndicale : défense des droits et acquis des travailleurs. Non pas pour pérenniser la situation de domination sociale actuelle mais pour arriver à une disparition du salariat et du patronat, à une supression de l'Etat en tant que structure d'application de l'autorité d'une classe sociale.
groupe Jules Vallès
c/o La Faille, BP 2301
38033 Grenoble
Cedex 02
valles.jules@
caramail.com
la FA est aussi présente
au 102 rue d’Alembert
La FA est représentée à Grenoble par le groupe Jules Vallès. Les militantes et les militants vous proposent toute l’année des débats, des expos, et même des soirées collages pour les plus motivé-e-s !… Bon, mais « Le droit à la paresse » reste une référence, et ellils disent aussi se faire un devoir de passer des moments à rien foutre d’autre que discuter le coup… n’hésitez donc pas à les contacter.
un mercredi sur deux
de 18h30 à 20h mais aussi sur
www.radio-kaleidoscope.net
Emission féministe animée par des femmes et des lesbiennes, écoutable aussi en direct sur internet, sur www.radio-kaleidoscope.net.
Si vous voulez faire des retours, critiques, blabla sur l'émission c'est possible sur degenree@boum.org comme ça, ça nous donnera l'impression qu'on nous écoute.
Pour écouter ou télécharger une de nos émissions : http://radio.indymedia.org/news/?keyword=degenree
un mercredi sur deux
de 18h30 à 20h
Emission de radio contre toutes les prisons
Le Trou dans le Mur est un collectif grenoblois créé en Novembre 2000. Constitué à l’occasion du dernier sommet du Forum Economique Mondial de Davos, il a pour objectif de manifester son opposition au capitalisme aussi souvent que possible par des actions dans la rue (stands sauvages d’information, projections, diffusions festives de tracts et autres manifestations susceptibles de provoquer rencontres et discussions). Sa démarche est avant tout anti-capitaliste, même nous sommes conscient-e-s qu’elle est indissociable de la dénonciation du sexisme, de l’impérialisme, du racisme et, plus généralement de toutes les formes d’oppression et d’exploitation. Nous fonctionnons sur un mode autogéré sans chefs, petits ou grands. Nous ne recrutons pas. Si vous souhaitez vous impliquer, montez votre propre groupe avec vos ami-e-s et tou-te-s ensemble nous irons crier notre refus du capitalisme. Et les occasions ne manquent pas ! « Un mur de dingue: épais, massif, de hauteur vertigineuse, de largeur démesurée. On n’aime pas poser la main dessus mais c’est quand même mieux pour sentir le froid qu’il dégage. Notre passion c’est de faire des trous au travers des tiges d’acier et du ciment, et d’attendre que les vents se lèvent et terminent le travail. Philosophiquement, nous sommes dans la droite lignée du cheveu dans la soupe et de l’aiguille dans la botte de foin, du grain de sable dans l’engrenage et du morceau de sucre dans le réservoir, du caillou dans la chaussure et du pull qui gratte... »
